Ma décision est prise. Je ne suis pas candidat à ma propre succession aux prochaines élections cantonales. Après deux mandats - le premier, celui de la victoire de la gauche et de l’espoir ; le second, celui de la désillusion et de la rupture d’avec la majorité départementale – j’ai fait le choix de me consacrer à mon mandat national au sein d’Europe Ecologie Les Verts, à mon travail d’opposition à la Ville de Perpignan et bien sûr, à mon métier d’avocat.
De grandes échéances nous attendent en 2012, puis en 2014. Je serai aux côtés des militants écologistes pour qu’elles soient un succès.
Comme vous le savez, je me suis engagé lorsque j’étais député au côté d’Arnaud Montebourg dans la lutte contre le cumul des mandats et leur limitation dans le temps. Seul le non cumul des mandats, porté dans les faits par les élus écologistes, permettra de sortir de la grave crise démocratique que nous traversons et des dérives locales clientélistes.
J’entends déjà les persiflages de mes « socialistes » locaux (et gourmandsdouillade). Je les connais bien. C’est la raison pour laquelle je leur dédie cette phrase de Pierre MENDES France, prononcée à Evreux en 1955.
« Tout citoyen, s’il veut être digne de ce nom, doit exercer son influence sur les hommes qui le représentent, non pas tant pour les petites affaires qui le concernent personnellement, mais pour les grandes affaires, celles qui intéressent le pays tout entier, et qui finalement, commandent le bonheur ou la ruine de tous. »
Madame, Monsieur, mes chers amis,
Vous me connaissez. Je suis candidat à la fonction de Maire de Perpignan. Cela suppose de défendre des principes et des valeurs. De dire ce que je ferai, comment je le ferai et avec qui. De tenir parole.
Je vous le dis, je mettrai fin à ces vieux systèmes claniques et clientélistes qui minent la démocratie et le développement économique de notre département. Il ne s'agit pas de gagner une élection avec les recettes du passé mais de proposer aux Perpignanais un vrai projet, ambitieux et crédible.
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Débat original dans sa forme et passionnant dans son contenu, que celui organisé ce samedi 16 mai, Place de la République ( la bien nommée) par l'association "Vélo en Têt".Quatre thèmes étaient proposés : la continuité des pistes cyclables, la mise en place d'un "code de la rue", la vitesse en milieu urbain et la piétonisation du centre-ville. Au cours des échanges, les militants associatifs ont pu interpeller les candidats aux élections municipales de juin prochain.La liste que je mène a développé ses engagements en matière de mobilité :
- révision immédiate du Plan de Déplacement Urbain,
- lancement d'un tramway,
- politique "vélo, piétons et transports collectifs" ambitieuse,
- requalification de l'espace urbain pour un meilleur partage et une totale accessibilité.
Katia Mingo a insisté sur l'impérieuse nécessité d'en finir avec les promesses opportunistes et les imprécisions programmatiques. Notre ville est face à une urgence que seules volonté et compétences peuvent résoudre. Cela est vérifiable, toutes les villes où des élus VERTS sont en responsabilité sur les questions de mobilité ont avancé très rapidement.Merci donc à "Vélo en Têt" et à bientôt pour une "vélorution".
30 000 ! C'est le nombre de cartes postales que les Perpignanais ont pu trouver dans leur boîte aux lettres. Et demain, ça continue !
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