Toute ressemblance avec le PPP des Archipelés serait purement fortuite ...
Toute ressemblance avec le PPP des Archipelés serait purement fortuite ...
Lire le communiqué de presse du conseil constitutionnel - Loi relative aux contrats de partenariat
Lire le compte-rendu des débats
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Comme annoncé à la presse lundi dernier, nous demandons à monsieur le préfet d'examiner la légalité du dossier qui sera voté le 10 juillet prochain. Il est dans l'intérêt de Perpignan et de ses habitants de consacrer notre énergie et nos finances à des projets d'équipements structurants prioritaires comme le soutien à l'université et aux laboratoires de recherche, au réseau de transports collectifs, à la rénovation de l'habitat insalubre, à l'ouverture de places en crèche.
Lire la lettre adressée à monsieur le préfet et à la cour des comptes.
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Carthage / Les Estivales 4 juil 08
Nous l’avons compris, Jean-Paul Alduy bat campagne et profite de la torpeur de l’été pour expédier le package PPP Théâtre de l’Archipel.
Le conseil municipal est en effet appelé à voter, le 10 juillet prochain, le contrat de Partenariat Public Privé* (PPP) entre la Ville et le groupement conjoint François FONDEVILLE (mandataire), AGIR / ELYO SUEZ ENERGIE SERVICES / AUXIFIP pour la réalisation du projet du Théâtre de l’Archipel.
Lire la suite "Partenariat Public Privé … De l’Archipel aux archipelés" »
Vendredi 20 juin, à 18h, le Musée Rigaud inaugurait «Perpignan la baroque», exposition organisée dans le cadre de «Perpignan, capitale de la culture catalane 2008», visant à présenter et valoriser auprès du public les collections de ce musée.
A travers une vingtaine de tableaux et de dessins des XVIIe et XVIIIe siècles, dans une scénographie sobre et claire, les organisateurs ont construit leur propos autour de trois idées: la difficulté – voire l'impossibilité – de définir le terme «baroque»; la qualité de l'activité picturale à Perpignan à cette époque; le rôle pionnier que jouèrent les collectionneurs perpignanais au XIXe siècle.
Incontestablement, l'exercice est réussi. Mais il ne doit pas occulter un fait préoccupant qui frappa la majorité des visiteurs avec lesquels je me trouvais: l'état lamentable dans lequel se trouvent la plupart des oeuvres exposées.
De ce point de vue, le discours qui M. Halimi a l'issue de l'inauguration est inquiétant. Faire croire aux perpignanais qu'en exposant ces oeuvres, on les donne à connaître à d'autres musées qui en demanderont le prêt et en feront la restauration, c'est prendre les gens pour des idiots.
Rappelons que gérer (conserver et/ou restaurer) et valoriser les collections auprès du public, c'est justement le rôle d'un musée. On l'aura compris, c'est la même rhétorique que pour le théâtre qui nous fut servie. On noie la population sous un discours creux – le «pôle muséal» et son hallucinant «musée de l'interprétation (sic) de l'histoire», des grands projets toujours «à venir» - pour mieux masquer le vide désolant de la politique muséale conduite depuis maintenant des années. Il n'est, pour s'en convaincre, que de comparer le musée de Perpignan à celui de Lleida - inauguré l'année dernière lorsque Lleida était capitale de la culture catalane - pour mesurer le fossé qui, hélas, une nouvelle fois, sépare les ambitions culturelles perpignanaises de celles de nos voisins.
Par Jean-Baptiste Llati
L’idée fait malheureusement son chemin: le droit du travail est le boulet de la croissance.
Les salariés les plus modestes culpabilisent de ne travailler que 35 heures, et finissent par croire que, s’ils ne vivent pas dignement, c’est parce qu’ils ne travaillent pas plus pour gagner plus.
Les femmes et les hommes de ce pays seraient donc, à leur insu, étouffés par les droits censés les protéger…
Il en serait de même des lois qui régissent le licenciement: une entrave au plein emploi.
Les salariés, convertis aux mérites de la flexibilité, et submergés d’opportunités de réorientation professionnelle, aspireraient à pouvoir plus facilement quitter leur emploi, et s’affranchir de carcans protecteurs.
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