Doucement mais sûrement, la ville se meurt. L'alduysme persiste, jour après jour, conseil municipal après conseil municipal, dans le renoncement. Il est clair dans l'esprit de l'équipe municipale en place que la fin de règne est bien là: on expédie les affaires courantes, on s'accroche aux vieilles lunes "conurbatoires". Les mots remplacent l'action, le dérisoire l'essentiel, les excuses les résultats. La rénovation de Perpignan est sous perfusion et laisse la place aux spéculateurs. Les objectifs sociaux sont abandonnés. La prospérité annoncée demeure un écrit de campagne électorale. Perpignan reste la ville la plus pauvre de France.
Une majorité des Perpignanais n'a pas renouvelé sa confiance à l'équipe aujourd'hui faisant fonction de majorité. La ville a aujourd'hui besoin d'énergies, d'idées, d'initiatives.
Avec les membres de mon équipe, le soutien de mes amis, l'expertise d'acteurs socio-économiques et l'encouragement des habitants, j'ai voulu poursuivre le travail engagé ces derniers mois. La nécessaire modernisation de nos pratiques politiques locales trouvera son terreau dans l'association "soixantesixmille, ma vie, ma ville" que nous venons de créer.
Il s'agit d'un espace de réflexions, de propositions et d'actions. Un rassemblement des énergies.
Je vous invite à nous rejoindre. L'ambiance y est républicaine, tolérante et volontaire.
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